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Kinshasa Objectifs 95-95-95 (2018) PVVIH: 142,577

74%

56%

23%

Source: SEP,KINSHASA

Kinshasa Continuum de soins du VIH (2018) PVVIH: 142,577

74%

42%

10%

Source: SEP,KINSHASA

Gentiny NGOBILA MBAKA
Gouverneur de la ville de Kinshasa
Membres de l’équipe spéciale FTCI

Ange Mavula

Batiments PNMLS, Croisement Boulevard Triomphal et avenue de la liberation, Commune de Kasa-Vubu

chargé de Suivi and Evaluation, UCOP +

ange.mavula@ucopplus.org

(243) 811414007

Rachel Ndaya

Batiments PNMLS Croisement Boulevard Trimphal et de la liberation C/Kasa-Vubu

Coordinatrice Nationale, RACOJ/SIDA

racojnational@gmail.com

(243) 99 78 04 510

Hilarie Mbowlie Nsabala

Directeur Exécutif, PSSP( Progrès Santé Sans Prix)

psspongd@yahoo.fr

(243) 81 73 00 725

Kapinga Lunga Madelieine

Ave. Justice 14 Kinshasa- Gombe

Designation du Membre: Vice-Présidente, La Main Sur le Cceur’

madeleine1234@hotmail.com

(243) 89 89 21 431

Dr. Faustin Kitetele

Hopital Pédiatrique de Kalembelembe, RD Congo

Chef du Département des Maladies infectueuses ou Contagieuses de l’Hopital Pédiatrique de Kalembelembe

fkitetele@hotmail.com

243 819 936 833

Kinshasa
Maputo
Yaoundé
Madrid
Amsterdam
Київ
São Paulo
Paris

Temoignage du monde associatif

“J’étais testée positive en 1999, mon mari m’avait contaminé, déjà les gens m’accusaient comme étant une prostituée. Après sa mort, je m’étais occupée de prendre soin de mes enfants. Un peu plutard, j’ai attrappé le SIDA.”
Au moment ou les ARVs coutaient très chers. Les membres de ma famille avaient vidé leurs porte-monnaies pour payer des milliers de dollars pour me permettre de rester en vie, jusqu’à ce qu’ils n’avaient plus rien. J’avais stopper de prendre des pilules pendant 3 mois. Je m’approchais de la mort. J’avais eu peur de mes enfants. Qui allait prendre soin d’eux? Les choses s’étaient empirées. Meme dans ma famille, j’étais accusée de sorcière.
Quand un Médecin m’avait présenté dans un Centre/Clinic qui distribuait les medicaments gratuits à l’un de leurs centres, d’une manière ou d’une autre,l’espoir était revenu. C’était en 2000. Ils m’avaient aidé et m’avaient mis sous traitement. Ces femmes avaient pris soin de moi, m’avaient dit de ne pas perdre espoir et de me tenir forte. C’est alors que j’avaient décidé d’etre comme elles. J’allais aide les autres. Et je ne taisais pas comme tant d’autres femmes vivant avec VIH.

Clarisse Mawak
Membre du Personnel Soignant de la Communauté

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